mercredi 22 janvier 2014

L'UAPN est intervenue auprès du Président de la Commission européenne



La situation a beaucoup évolué depuis la fixation, en 2008, des objectifs en matière de climat et d'énergie à l'horizon 2020: incidences de la crise économique et financière, nouveaux développements technologiques permettant la production de nouveaux types d'énergie, évolution des prix et progrès dans le domaine de la recherche.

En fixant de nouveaux objectifs pour 2030 tout en réalisant ceux fixés pour 2020, l'Union offre une perspective à plus long terme, garantissant ainsi une plus grande prévisibilité pour les investisseurs, un renforcement de l'innovation et de la demande dans le secteur des technologies à faibles émissions de carbone, une moindre dépendance à l'égard des combustibles fossiles importés, le développement de nouveaux secteurs économique et la création de nouveaux emplois, ainsi qu'une réduction de la pollution atmosphérique, avec les avantages qui en découlent sur le plan de la santé. L'Union sera en outre en mesure de contribuer de manière constructive aux négociations en vue d'un nouvel accord international sur le climat, qui auront lieu en 2015.
Le nouveau cadre pour 2030 repose sur la feuille de route vers une économie compétitive à faible intensité de carbone à l'horizon 2050, sur la feuille de route pour l'énergie à l'horizon 2050 et sur le livre blanc sur les transports, ainsi que sur le livre vert de la Commission de mars 2013 sur le cadre des politiques énergétique et climatique.
La proposition de cadre pour 2030 sera examinée par le Conseil européen des 20 et 21 mars 2014 (1) et par le Parlement européen.



Pour l'Union des Amis et Protecteurs de la Nature  : "Il est urgent de prendre des décisions déterminantes concernant la réduction des gaz à effet de serre.
Urgent de réduire de 50 % ces émissions qui concourent à déstabiliser très gravement le climat.
L'Europe peut très rapidement donner un exemple déterminant en fixant des objectifs prioritaires en terme d'énergies renouvelables et nous pensons  que vous devez  prendre une décision responsable engageant  de véritables orientations pour la sauvegarde de notre planète Terre.
Nous sommes tous concernés."



Union des Amis et Protecteurs de la Nature
Fédération des Amis et Protecyeurs de la Nature

Contact ; uapn@free.fr

1) Conférence de presse donnée à 12 heures le jour du lancement par  José Manuel Barroso, président de la Commission,  Günther Oettinger, commissaire chargé de l'énergie, et  Connie Hedegaard, commissaire chargée de l'action pour le climat.

mercredi 15 janvier 2014

Appel pour sauver des chats d'une mort certaine !


A l’origine, les anciens propriétaires de la boulangerie qui est juste à côté de la maison avaient un couple de chats, et ils les ont abandonnés lorsque qu’ils ont déménagé.

Les minous n'étant ni castrés ni stérilisés se sont reproduit rapidement.

Les premières estimations font état d'une dizaine de chats....

Je découvre cette situation venant juste d’emménager dans cette ville.

J'ai contacté la fondation Brigitte Bardot qui ne pourra malheureusement pas donner rapidement de bons de stérilisation car le budget 2014 n'est pas encore voté.

La situation est urgente car la maison et le terrain vont être rasés et bétonnés pour la construction d'un parking.

Et aussi car des naissances vont inévitablement se produire à court terme.

- J’aurais besoin d’aide d’associations pour trapper, faire stériliser, et accueillir ces chats.

Il y a une dizaine de chats, si 10 associations prennent en charge un chat on est sortis d’affaire !

- Je lance aussi un appel aux dons afin de financer ces stérilisations.

Les dons se font à l'association "La Main à la Pat'"

N'oubliez pas de préciser avec un petit mot que c'est pour les minous de Gretz !

http://lamainalapat.board-poster.com/

Ils peuvent être fait par chèques à l'ordre de "La main à la pat"
et envoyés au siège social :
La Main à la Pat'
Ecluse de Villiers sur seine
77114 Villiers sur seine

Sinon, vous pouvez aussi faire des virement paypal sur le site de l'association don l'adresse est noté quelques lignes plus haut ♥


Mon premier recensement des chats est le suivant :

- 2 chats roux,
- une écaille de tortue poils courts,
- 2 écailles de tortue poils longs,
- 1 gros matou gris poil long,
- un chat noir,
- 1 tigré.


Merci de diffuser largement cet appel.

Je ne fais pas (encore) partie du monde de la protection animale et ne sais pas par où commencer, ni comment faire pour sauver ces chats, en tout cas seule je n’y arriverai pas.



MERCI DE VOTRE AIDE POUR CES CHATS



Charlotte

La fourrière a eu une mission de la mairie pour récupérer 8 chats.
Suite à la détermination de Marieo ainsi que l'aide d'une association qui se propose de stériliser et de tatouer à son nom (mais qui souhaite rester anonyme via réseau sociaux) mais ne pourra financer les opérations, nous avons un délais d'une semaine pour donner à la mairie le nom des adoptants avant qu'intervienne la SACPA.

Nous avons trouvé un refuge dans le coin qui se propose de recueillir les chats non adoptés et non placés mais la mairie est rétissante et refuse de nous donner les clés si cette personne récupère les chats car le voisinage se plaindrait de ses petits habitants.

La présidente de ce refuge va à la mairie ce matin demander des explications.

J'ai également lancé un appel aux dons via le journal "Le Pays Briard" ainsi qu'un appel à l'adoption/ FA en expliquant l'histoire.

Source de cet appel


On a tous besoin d'un toît



Bien évidemment "Coulommiers Ecologie" tient à soutenir cette action humaine en faveur de chats qui sont loin d'être des SDF pourtant.
Mais voilà on n'hésite pas à détruire des demeures (maison qui pouvait être réhabilitée) pour faire...des parkings...?...alors les chats...si les plus déshérités ne peuvent se loger...ne sont pas très bien considérés, et c'est bien triste d'en arriver là.
Quant à réaliser des parkings en détruisant une maison, c'est bien triste aussi, et nous souhaitons que ces parkings ne soient pas payants, ne soient pas encore source de profits pour une société privée comme ceci devient de plus en plus courant.
On voit là encore que les animaux sont bien peu de choses dans les projets d'infrastructures, d'urbanisation etc


A Coulommiers nous avons nous aussi un réel problème concernant les chats, ils disparaissent petit à petit de notre environnement, comme les pigeons d'ailleurs devenus de plus en plus rares (?).
L'Union des Amis et Protecteurs de la Nature a engagée une enquête depuis quelque mois afin de mettre un terme décisif à des actions jugés injustifiées et concernant notamment la récupération d'animaux qualifiés d'errants, or, dans certains cas ces animaux appartiennent à des propriétaires et là l'opération devient scandaleuse car les propriétaires des animaux capturés par des particuliers, ce qui est illégal déjà,  (1) se voient réclamer une somme d'argent dont le montant est loin d'être justifié.
Nous conseillons donc à tous ces propriétaires de se constituer partie civile de manière conjointe (2) si possible car les préjudices sont réels.
Nous condamnons ces actions.
Pour en revenir aux chats menacés de fourrière à Gretz, dans "Le Pays Briard" du 14 janvier il est précisé que les associations ont obtenu un délai pour pouvoir trouver des adoptants.
Nous faisons appel nous aussi à tous les amis des animaux afin que ces chats soient réellement sauvés.

1) Le pire est que ce sont les particuliers qui récupèrent les chats (ils ont même les cages chez eux!) en les attirant (en plus) pour les donner ensuite à la fourrière.
C'est du n'importe quoi aussi à Coulommiers!
2) Vous pouvez envoyer vos témoignages directement à uapn@free.fr


Voir les liens ci-dessous concernant respectivement le "massacre de chiens dans une fourrière", "les chats en ligne de mire",  et "à Coulommiers les chats ont la vie dure"   .




mardi 14 janvier 2014

Pour Nicolas hulot : "les chinois sont convaincus"


En Chine du 14 au 20 décembre, Nicolas Hulot a été l'envoyé spécial du Président de la République française pour la protection de la planète. Cette visite s'inscrit non seulement en préparation à la venue du Président chinois Xi Jinping en France au printemps 2014, mais aussi bien au-delà, puisqu'il s'agit de préparer le sommet international sur le climat, qui aura lieu à Paris… en 2015.



Nicola hulot (Photo AFP)


"Je suis venu, j'ai vu, je suis convaincu". Tel pourrait être le credo de Nicolas Hulot. D'abord pour cette conviction qu'il a que la Chine a pris conscience de l'urgence du problème climatique. Ensuite parce que Nicolas Hulot n'est pas venu pour vaincre ou imposer des changements, mais pour faire converger les points de vue, et échanger sur les solutions possibles pour lutter contre le réchauffement climatique. En effet, la France accueillera du 30 novembre au 11 décembre 2015 au Bourget, la 21e conférence des parties de la convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique. La conférence internationale doit marquer une révision des objectifs, et la France souhaite aboutir à l'adoption d'un accord universel contraignant, pour contenir le réchauffement climatique à 2°C d'ici 2100. Seulement, cet accord contraignant n'est pour l'instant qu'une lubie, après les échecs successifs lors des conférences internationales pour le climat à Copenhague ou Durban.

La peur de l'instabilité sociale

Un préalable indispensable au succès a cependant été franchi selon Nicolas Hulot : "Je pense que les dirigeants chinois ont pris conscience de l'urgence de la situation". Avec des records de pollution dans plusieurs de ses villes cette année, dont un pic à 993 µg/m3 pour les particules PM 2,5 en janvier 2013 à Pékin, le gouvernement chinois "a compris que ça pouvait être un facteur d'instabilité sociale, d'expression de masse et que ce n'était pas un problème éphémère. C'est du coup devenu un problème de politique intérieure." Et Nicolas Hulot se réjouit de ce changement, aujourd'hui la principale nouveauté par rapport aux échecs précédents. "Cette prise de conscience est préalable à l'action. Moi, ils m'ont dit qu'ils ne feraient pas comme Londres dans les années 50, qu'ils n'attendraient pas 20 ans pour enlever ce brouillard-là. Et on sait que les Chinois sont capables, quand ils sont déterminés, d'aller très vite".

Constater, comprendre l'état d'esprit de ses interlocuteurs, c'est l'une des missions de Nicolas Hulot.  L'homme n'est plus à présenter en France depuis son émission à succès Ushuaïa, et ses multiples prises de position écologiques via sa Fondation pour la Nature et l'Homme, mais aussi son livre adapté au cinéma Le syndrome du Titanic. Nommé par François Hollande le 23 janvier 2013 comme envoyé spécial pour la protection de la planète, il rappelait néanmoins aux journalistes chinois qui le connaissent moins son "quart de siècle consacré à mobiliser les différents acteurs sur l'environnement". Habitué à parler aux entreprises comme aux associations, aux collectivités publiques comme aux ONG, il a donc été choisi par François Hollande pour "mobiliser et promouvoir les propositions de la France et de l'Union européenne".

Des progrès et de la méfiance

La mission l'a déjà conduit au Mexique ou aux Etats-Unis, où il a aussi noté des progrès. "Il y a un argument nouveau aux Etats-Unis, qui est l'élément de sécurité. Le Pentagone a identifié que la menace climatique pèse sur la sécurité intérieure autant que la menace terroriste, et c'est un argument qui joue dans le camp des républicains." Nicolas Hulot s'appuie donc sur le réseau diplomatique français, pour créer du lien et faire converger les différents acteurs. "Ces enjeux universels nouveaux nécessitent une approche diplomatique. La France peut créer les conditions du consensus, mais ne peut les imposer, tempère-t-il cependant. J'ai été écouté, mais entre l'écoute et la compréhension, il peut y avoir de la perte en ligne."

Pire, il y a aussi un contentieux latent depuis que toutes les aides financières promises dans le cadre de fonds non pas été délivrées. "Cela porte vraiment préjudice sur les discussions multilatérales. Il y a de la défiance maintenant vis-à-vis des fonds, même si les financements les plus urgents ont été payés. Ce problème doit absolument être réglé avant Paris. Il faut honorer les engagements passés."

Il n'empêche, s'il serait un peu "prétentieux" de parler d'un axe France-Chine, "nos échanges sont en train de se renforcer avec les préparatifs des 50 ans de la relation diplomatique bilatérale". Et Nicolas Hulot d'admettre qu'il espère fortement un volet climatique lors de la visite de Xi Jinping en France au printemps prochain. "Ce sont les annonces de la Chine qui permettront aussi de débloquer les discussions internationales".

Apprendre sur les économies circulaires

Nicolas Hulot était aussi là pour observer et apprendre, dans le cadre de "l'agenda positif" voulu par les autorités françaises, à savoir "un partage des opportunités économiques, et non seulement des contraintes". L'envoyé spécial était tout particulièrement curieux de voir des exemples d'économie circulaire. Il s'agit de faire en sorte que ce qui constituait autrefois des déchets deviennent de nouvelles matières premières. "C'est pour moi un axe de progrès très important car ces déchets provoquent du méthane, qui est 25 fois plus impactant que le CO2. Je suis convaincu que c'est une issue de secours pour l'ensemble des économies mondiales. La France s'y intéresse depuis seulement un an, mais la Chine est pionnière dans ce domaine", preuve que le pays n'attend pas forcément de s'accorder avec le concert des nations pour agir.

"La France peut aussi apprendre de la Chine en matière d'énergie solaire, et à l'inverse, apporter à la Chine sur les énergies marines", explique Nicolas Hulot. Par ses propos, il illustre l'évolution de la relation avec la Chine sur la question climatique, passée de la confrontation à la collaboration. Une nécessité devant l'urgence de la situation, car comme le martèle Nicolas Hulot : "Je suis convaincu que les Chinois sont convaincus, alors ne perdons pas de temps à douter".
Joseph Chun Bancaud 

(Le petit journal)


Note de " Coulommiers Ecologie" :  nous conseillons à tous ceux qui s'intéressent à l'actualité mondiale d'aller sur le site de lepetitjournal.com (actualité mondiale des français à l'étranger) et de vous abonner à l'édition qui vous intéresse.
A l'heure où la France se doit de relever la tête de mettre en avant sa culture, sa langue est de plus en plus malmenée par des mots qui altèrent notre langue et deviennent de plus en plus ridicules et déplacés de la part de ceux qui l'utilisent mais qui pourrait prétendre à lui seul changer le monde, d'autant que certains journalistes s'imagent être malins en utilisant des mots que nous ne saurions comprendre avec clarté.

Quand l'on voit que lors des actualités en France les images de fond des présentateurs et présentatrices sont des buildings  ont ne peut que s'interroger sur l'esprit engagé par ces médias (ou media)...Nous y reviendrons!
Il est vrai que l'on tente de rendre un peu plus idiots les français et les françaises qui sont devant leur téléviseurs et qui ont les informations que l'on veut bien leur donner, généralement elles sont nulles et l'on passe très vite de l'actualité au sens propre du terme, au documentaire,  puis aux sports...à la fin du journal télévisé vous avez appris peu de grandes choses et c'est bien à l'image de la politique actuelle.
De la poudre aux yeux, des apparences souvent trompeuses et pendant ce temps là les politico-mafieux  avancent leurs pions sur le grand échiquier...

dimanche 12 janvier 2014

Notre-Dame des Landes : L'UICN intervient auprès du ministre de l'Ecologie




Le président du comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a adressé une lettre au ministre de l'Ecologie Philippe Martin lui demandant de "compléter" la réalisation d'études d'impacts "sur les systèmes écologiques" du projet d'aéroport du grand Ouest Notre-Dame-des-Landes, "avant le lancement de tout travaux".

Christophe Lefebvre a envoyé cette lettre, datée du 30 décembre dernier, après que la préfecture de Loire-Atlantique a publié le 21 décembre quatre arrêtés préfectoraux relatifs à la loi sur l'eau et à la biodiversité, autorisant le démarrage des travaux, via des mesures compensatoires des zones humides impactées.





L'analyse des incidences du projet réalisée par les maîtres d'ouvrage (le concessionnaire Aéroport du Grand Ouest (AGO)-Vinci et la Dreal des Pays de la Loire) et la définition des mesures sont basées sur la logique ERC (Eviter - Réduire et, en cas d'incidences résiduelles, Compenser), indiquent les arrêtés. Mais l'UICN estime que la méthodologie de compensation mise en œuvre par les maîtres d'ouvrage demeure "insuffisante". 

L'organisation critique "la globalisation des fonctions à compenser", "les ajustements" réalisés en termes de surfaces de zones humides impactées et "la conversion en « Unité de Compensation Globale » de l'évaluation des impacts résiduels sur ces zones humides". Le manque de justification de cette méthode a déjà été pointé par le Conseil National de la Protection de la Nature et les commissions de dialogue et d'experts nommées par l'Etat sur ce projet.

Le site concerné, d'une superficie d'environ 1.600 hectares, est constitué "à 98 % de zones humides" et englobe deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), souligne Christophe Lefebvre. Ces zones humides "jouent un rôle clé" dans la régulation de la ressource en eau, dont l'écrêtement des crues. "La destruction de cet écosystème, même accompagnée de mesures compensatoires adéquates, aura des impacts autant quantitatifs que qualitatifs sur les masses d'eaux de surface, souterraines et de transition à une échelle bien plus large que celle du site, sans oublier l'augmentation du risque d'inondation pour les habitants des villes alentours", a averti M. Lefebvre.

L'UICN estime donc "nécessaire" de compléter les études "pour définir et mettre en oeuvre toutes les actions nécessaires pour éviter, réduire et compenser les impacts sur les services rendus par les zones humides et les espèces présentes dans une démarche d'exemplarité et d'excellence environnementale".

Selon le préfet de Loire-Atlantique, les premières actions de transferts des espèces et de défrichage seraient prévues le premier semestre 2014.

Source:  Rachida Boughriet / Actu environnement



Notre-Dame des Landes c'est aussi l'emprise de capitaux privés sur un aéroport qui normalement devait être un aéroport d'Etat, et là cette opération non seulement elle portera atteinte à l'environnement mais encore elle démontre la colonisation des espaces par des groupes privés pour un seul leitmotiv : le profit.

Quant à l'intérêt général il en prend encore un sérieux coup.

On aimerait connaître un peu mieux le projet au niveau des bénéfices qui seront engendrés pour ces groupes financiers, alors que la France est endettée gravement.

Des comptes plus clairs avant l'heure des comptes pour tous les français et françaises spoliés, manipulés, trompés...

Cherchez les raisons de toutes ces actions et vous verrez combien la lumière doit être faite sur bien des points et non seulement sur les atteintes portées aux écosystèmes (ce qui déjà est grave).


J.CORELIA







jeudi 9 janvier 2014

Le massacre des baleines continue!

C’est un spectacle déchirant pour l’ONG Sea Shepherd qui a diffusé ces images : celles des cadavres de plusieurs baleines de Minke étendues sur le pont d’un navire de la flotte baleinière japonaise. L’organisation affirme avoir surpris les navires-baleiniers chasser dans les eaux d’un sanctuaire pour les cétacés, un sanctuaire reconnu internationalement dans l’océan Antarticque.

“Le Japon soutient un mensonge en disant que c’est de la recherche scientifique" a dénoncé Bob Brown, président de Sea Shepherd Australie... "Regardez les images de ce massacre des dernières 24 heures. Il n’y a rien de scientifique. C’est de la boucherie. Ils vont prendre la chair de ces baleines pour la ramener au Japon”.

L’ONG a déploré l’absence de surveillance du sanctuaire de la part du gouvernement australien. Après avoir promis lors de la campagne électorale qu’il enverrait un navire pour surveiller la flotte baleinière japonaise dans cette zone, le ministre australien de l’Environnement a finalement opté pour des survols aléatoires par un avion des douanes, une réponse jugée inefficace par les défenseurs des baleines.

Source Reuters - Euronews - Sea Shepherd (France et Australie)


Sea Shepherd met la flotte baleinière en déroute et la chasse de la zone du Traité sur l’Antarctique


Voir les videos 

Japan kills whales inside sanctuary - Sea Shepherd video

 (durée 1 heure 21) Whale Wars A Commander Rises Full Two Hour Special


Soutien total à Sea Sheperd !