Ils sont heureux ces pigeons...dommage que ce ne soit pas à Coulommiers, où il faut chercher longtemps pour trouver un couple de pigeons.
Mis à part des pigeons ramiers, que l'on peut apercevoir, mis à part ces pigeons des bois qui voient leurs espaces se réduire insidieusement et cherchent d'autres territoires, oui mis à part ces pigeons là, que c'est triste Coulommiers.
Que c'est triste Coulommiers, ville qui ne mérite même plus son nom.
Après les campagnes visant à réduire le nombre de "chats errants" (ils préfèrent vivre avec les rats ces gens là !). Nous avons vu des opérations visant à détruire les pigeons de cette ville.
La "venise briarde" est très éloignée de l'esprit de Venise, cette ville où les pigeons vivent en toute sérénité.
Le centenaire de l'armistice de la guerre de 14-18 approche, les pigeons voyageurs ont eu un rôle très important dans cette guerre, quelle ignorance quelle bêtise ont certains.
Allez faire un tour sur ce site, et vous changerez peut être d'avis concernant les pigeons.
Stéphane Bern est en charge de la mission pour la sauvegarde du
patrimoine. - AFP
Newsletter Politique
Le Monsieur Patrimoine du gouvernement, chargé d’identifier les sites en
péril, assure qu’il quittera son poste s’il n’est qu’un "cache-misère".
Stéphane Bern redoute que sa mission ne soit qu’un "effet d’annonce" et
s’interroge sur son avenir sur BFMTV.
Après Nicolas Hulot, Stéphane Bern ?
Les membres issus de la société
civile appelés par Emmanuel Macron en début de quinquennat vont-il
quitter tour à tour le navire présidentiel ? C’est en tout cas la menace
adressée à l’exécutif du Monsieur Patrimoine du gouvernement. Dans une
interview accordée au groupe de presse régionale EBRA, Stéphane Bern
menace d’abandonner la mission qui lui a été confiée par le
président de la République en septembre 2017.
"Je suis arrivé la fleur au fusil et maintenant je vois toutes les
attaques contre le patrimoine, y compris au sein du gouvernement. […] Si
tout cela n’est qu’un effet d’annonce, je partirai. Je ne veux pas être
un cache-misère", lance l’animateur dans la presse régionale de l’Est
de la France.
"Je me demande si on ne s’est pas moqué de moi"
Il y a presque un an, le 16 septembre 2017, Stéphane Bern était
officiellement nommé à la tête de la mission pour la sauvegarde du
patrimoine. Après plusieurs mois de travail, 260 monuments ont été
identifiés comme en péril.
C’est alors qu’en mai dernier un Loto du
patrimoine a été annoncé. Dès le 3 septembre, des billets "Mission
patrimoine" seront ainsi en vente chez les buralistes.
Une bonne
initiative qu’il espère fructueuse avec une large participation des
Français, mais insuffisante selon lui. Il réclame au gouvernement de
"débloquer de l’argent public pour la ruralité".
"Je tire un signal d’alerte, je tire un signal d’alarme. C’est très
grave ce qui est en train de se passer (...) J’ai le sentiment que le
patrimoine est menacé et qu’on ne fait rien pour m’aider à le sauver ",
précise-t-il sur BFMTV vendredi dernier.
Dans le viseur de Stéphane Bern, le manque de moyens alloués par le
gouvernement à la sauvegarde du patrimoine ou plus particulièrement les
choix budgétaires opérés à la tête de l’Etat. Pour celui qui se pose
"aux côtés des territoires", l’urgence vient des petites communes qui
vivent de "ce tourisme patrimonial".
"On va trouver sans doute plus de 450 millions d’euros pour restaurer
le Grand Palais à Paris et que moi on me demande de trouver 15 – 20
millions pour sauver toutes les églises des petits villages (…) je me
demande si on ne s’est pas moqué de moi", martèle l’animateur de
télévision et de radio.
"Je rame pour trouver de l’argent", regrette-t-il, amer.
Jacques Mézard dans le collimateur
Plus largement, il estime que la politique menée par le gouvernement va à
l’encontre de la sauvegarde du patrimoine français. Et n’hésite pas à
régler ses comptes avec certains ministres, à l’image de celui de la
Cohésion des territoires et sa loi ELAN (1).
"Pardon de le dire aussi crûment, mais Jacques Mézard fait voter une
loi qui permettra maintenant de détruire des quartiers entiers et
protégés sous prétexte qu’ils sont vétustes et dégradés, attaque
Stéphane Bern. Avec cette loi nous n’aurions pas pu conserver le
quartier du Marais à Paris, par exemple".
Stéphane Bern se donne désormais jusqu’à la fin de l’année pour
prendre une décision sur sa poursuite ou non au sein de la mission.
Il
assure pour autant ne pas vouloir porter atteinte au quinquennat
d’Emmanuel Macron, ébranlé en cette rentrée par le départ de Nicolas
Hulot et sa sortie sur les "Gaulois".
"Je ne suis pas un homme
politique, je n’ai rien à faire dans la sphère politique, lance-t-il. Je
suis animateur de radio et de télévision, j’écris et je défends le
patrimoine. Je le fais depuis que j’ai 15 ans, c’est-à-dire quand le
président Macron n’était pas encore né."
Et de conclure : "Je n’ai attendu personne pour m’occuper du patrimoine."
(source BFMTV)
1) Une loi qui va aussi à l'encontre des droits pour les plus démunis !