mercredi 19 novembre 2014

Le "tigre de Seine-et-Marne"...presque un canular...

 L'ennui c'est qu'à partir du 13 novembre  à Montévrain la panique a été de mise, 200 personnes ont été mobilisées ainsi qu'un hélicoptère équipé d'une caméra infrarouge...pas de réel commentaire de notre part tant ceci frise le ridicule.
La photo publiée dans de nombreux journaux ne pouvait pas laisser de doute quant à l'espèce de félidé en ballade, bref.

Nous publions deux photos que nous avons prises au Parc des Félins à Nesles afin de démontrer qu'un chat forestier est loin d'être aussi imposant qu'un tigre,  en plus il pourrait être question d'un chat européen, bien portant tout simplement.

Les chats, les pauvres chats n'ont même plus la possibilité de sortir sans être confondus avec de gros félins, là je pense qu'il faut arrêter de fumer n'importe quoi.







Voir éventuellement pour de plus amples informations    et   ceci


vendredi 7 novembre 2014

Très "troublantes" disparitions de chats ?...

Coulommiers aussi a des disparitions de chats très épisodiques, et nous conseillons tous les amis des animaux d'être attentifs et veiller à la sécurité de leurs compagnons à quatres pattes.
La plupart du temps les chats finissent dans les fourrières et même sont l'objet de trafics vers des laboratoires...mais il y a aussi les "campagnes de déchatisation" (le grand n'importe quoi) à Coulommiers où les chats errants ont une espérance de vie très relative, et là  de mauvaises personnes vont même jusqu'à attirer les chats des voisins proches ou éloignés pour les faire mettre en fourrière, les propriétaires qui veulent alors les récupérer sont obligés de payer la fourrière, pas mal comme méthodes, mais c'est Coulommiers et il ne faut plus s'étonner de rien.

Quoiqu'il en soit la prudence est de mise pour tous les amis des animaux, l'Union des "Amis et Protecteurs de la Nature"  de son côté est particulièrement vigilante afin que les chats et autres animaux ne soient plus les victimes malheureuses d'individus sans aucun scrupule.

samedi 1 novembre 2014

Stoppons l’invasion de l’huile de palme dans l'Île de Palawan!


Les Philippines veulent convertir huit millions d’hectares de leur territoire en cultures d’huile de palme, dont une partie de la Réserve de biosphère de l’UNESCO à Palawan. 
Ces plans insensés montrent crûment le peu d’égard du gouvernement philippin vis-à-vis des peuples autochtones lorsqu’il s’agit de "développement économique".

L’Île de Palawan, surnommée « la dernière frontière des Philippines », est classée dans son intégralité comme Réserve de biosphère de l’Unesco en raison de sa nature exceptionnelle. 
Malgré ce statut, son territoire est en train de subir l’une des invasions les plus importantes jamais vues de plantations industrielles de palmiers à huile. En tout, ce sont 20 000 hectares de terres et de forêts que convoitent les entreprises d’huile de palme.



6 000 hectares de terres ont été défrichées à ce jour à Palawan!

 Portant de graves atteintes à la biodiversité, aux ressources en eau et aux sols de l’île. Des centaines de communautés autochtones ont perdu tout ou partie de leurs moyens de subsistances. Si l’expansion des monocultures industrielles d’huile de palme se poursuit, la sécurité alimentaire des habitants de la province risque d’être sérieusement compromise.

L’huile de palme industrielle provoque la misère des autochtones.

Agumil Philippines Inc. est le plus gros producteur d’huile de palme de Palawan. Pendant que l’entreprise exporte en masse l’huile de palme vers ses clients de Malaisie, les paysans de Palawan n’ont de leur côté plus rien à vendre sur les marchés locaux et arrivent à peine à nourrir leur famille.
« Agumil ne nous autorise même pas à cultiver le manioc sur nos terres qu’ils ont converti en plantations de palmiers à huile » affirme Jerry Azucena de la Coalition contre l’accaparement des terres (CALG), une organisation nouvellement créée : « Ils ont détruit notre pays. Tôt ou tard, ils devront nous dédommager pour cela. »

Les groupes autochtones et paysans de la CALG demandent au gouverneur Jose Alvarez d’adopter un moratoire sur l’expansion des cultures l’huile de palme dans la province. 
Soutenons leur action en écrivant au gouvernement de Palawan.




Arrêtons le gaspillage des ressources 
de notre planète !
Protégeons la biodiversité !