samedi 31 août 2013

Quelle place pour les chiens en ville ?




"Déjections, aboiements, morsures, comment répond-t-on aux problèmes posés par la présence des chiens en ville ?

Quelle est la place du chien dans la ville ? 
Il y a quelques années la question avait suscité de vifs débats dans la France entière et entraîné des aménagements urbains dans le but d’améliorer la gestion des problèmes causés par nos amis à quatre pattes. Il est désormais question de savoir ce qu’il reste de cette volonté politique et de poser un bilan.

Une question de civisme

À la mairie du Mans le ton est donné : « Le débat ne porte pas tant sur un problème d’équipement, il s’agit bel et bien d’une question de civisme », affirme Rolande Lancien, conseillère déléguée à l’Hygiène et la Santé Publique.

Les déjections ne sont pas le seul problème que peut poser le meilleur ami de l’homme, comme le raconte Yannick Vérité : « On a beaucoup de plaintes concernant les aboiements, environs 5 ou 6 par mois. On privilégie encore une fois le dialogue, la médiation entre voisins, il faut d’abord en parler à son voisin avant d’aller voir la mairie, mais si ça ne fonctionne pas, on sanctionne par une amende. »

Découvrez l'intégralité de ce reportage dans "Le Maine Libre" de ce samedi 31 août 2013..."


A Coulommiers le problème reste entier et depuis des années les passants marchent souvent sur des crottes de chiens...allez en centre ville et faites le tour de l'hôpital Abel-Leblanc (1)...c'est sans commentaire.

Quant à l'incivilité de certains  propriétaires de chiens elle est évidente et fortement regrettable...mais à Coulommiers on préfère s'attaquer aux faux problèmes qu'aux problèmes qui font que "certains coins ne sentent pas la rose"...
On aime les chiens mais ce sont les propriétaires qui eux devraient avoir un peu plus d'éducation.
Cette ville qui ne tolère pas plus de huit colombes...et deux serpents...aime à mener campagnes contre les chats errants ou qualifiés comme tels de manière arbitraire, mais pas contre les problèmes liés à l'hygiène (urines et crottes sur les trottoirs autour -par exemple- d'un hôpital ) apparaissent  pour "ces gens là" comme secondaires.


1) Nom d'un bienfaiteur de la ville de Coulommiers. La Fondation Abel-Leblanc demeure la garante du bon fonctionnement d'un hospice pour les plus démunis, l'immense fortune léguée par Abel Leblanc à la ville est conditionnée au respect de la volonté de ce grand minotier (qui était propriétaire des Moulins de Pantin).
Là encore on s'étonne que la Fondation Abel-Leblanc qui se trouvaient Avenue des Lorinettes a été déplacée à l'ancien hôpital...?...
Et, il y a de quoi aussi s'étonner du peu de cas qui est fait à ce bienfaiteur au musée de la ville pourtant installée au Parc des Capucins qui appartenait aussi... à Abel-Leblanc...
Afin que nul oublie le passé de la ville nous serons très attentifs au respect de certains engagements...qui ne sont pas faits eux pour les chiens...

2 commentaires:

  1. Je suis allée au "Musée de Coulommiers" (qui se trouve dans le parc des Capucins) et il y a rien sur Abel Leblanc pourtant ce riche minotier avait fait don de sa fortune à la ville de Coulommiers.
    Ceci écrit en passant je m'étonne aussi que la Fondation Abel-Leblanc qui se trouvait là où il y a une société financière et un cabinet de notaires se soient retrouvée à l'hôpital du centre ville?
    La ville est tenue de respecter les dernières volontés d'Abel Leblanc et je m'étonne du déplacement de cette Fondation Abel-Leblanc.

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  2. J'ai mis au pluriel : "se soient retrouvée" en pensant au service femme et au service homme qui ont été déplacé à l'hôpital du centre ville.

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