samedi 2 août 2014

Faire de l'électricité avec de l'eau de pluie

Des étudiants mexicains ont utilisé de l’eau de pluie pour fabriquer de l’électricité et alimenter un quartier de Mexico.

TURBINES. Charger des batteries avec de l’eau de pluie : c’est la réussite de ces étudiants de l’Université technologique du Mexique (UNITEC). Le système appelé « Rain Wild » recueille la pluie sur le toit d’immeubles, elle est ensuite drainée vers un système de récupération puis vers une micro-turbine, un modèle réduit de celles employées dans les barrages. Des essais menés dans un quartier pauvre de Mexico, Iztapalapa, ont montré que le système fournissait assez d’énergie pour charger des batteries de 12 volts portables.
Ces batteries ont été utilisées pour assurer l’éclairage des immeubles à l’aide de LED et alimenter d’autres petits appareils tels que des réfrigérateurs ou des ventilateurs de table qui consomment un maximum de 12 volts. Les étudiants d’UNITEC continuent à œuvrer sur leur système et espèrent prochainement améliorer la puissance de la micro-turbine et les capacités de stockages pour pouvoir alimenter plusieurs maisons avec une seule turbine.

Le système utilise des turbines semblables à celles employée dans les barrages.

ÉPURATION. En plus de fournir de l’électricité, « Rain Wild » participe aussi à l’amélioration de la qualité des eaux. Après être passée par la micro-turbine, l’eau est dirigée vers un filtre à charbon actif qui permet d’éliminer le chlore en excès et les mauvaises odeurs et clarifie l’eau. « Avec ce filtre, la qualité de l’eau que nous obtenons est égale ou même meilleure que l’eau du réseau d’approvisionnement de la ville de Mexico » conclut Coca Leyva, un des initiateurs du projet.


"Coulommiers Écologie"  démontre que des initiatives intéressantes se réalisent de plus en plus dans le monde afin d'économiser réellement l'énergie électrique. A Coulommiers c'est loin d'être le cas des zones sont inondées de lumière  à un point tel que ceci devient très inquiétant au niveau de la santé, et puis on aimerait connaître comment peut se réaliser l'assimiliation chlorophylienne des végétaux avec ces excès d'éclairages.
Quant à la consommation électrique nous aimerions connaître le coût  de ces excès, d'autant que non seulement l'éclairage urbain est absolument pas étudié correctement dans cette ville où des endroits sont dangereux par manque...d'éclairage (exemple la rue qui va au vieux Theil et au Centre hospitalier où il y a pas un seul réverbère ?...).

Il est vrai que tout est à la démesure et de plus en plus, toutes ces réalisations ont un prix et puis cerise sur le gâteau : Coulommiers a sa vidéosurveillance  sans aucun respect de la réglementation qui oblige d'informer le public des installations de caméras...la vie privée n'existe plus à Coulommiers, l'intimité non plus (voir notre article sur la coupe rase des bambous et haies près de la résidence "La Colombière"), il va falloir se pencher très sérieusement sur certains objectifs qui expliqueraient la coupe rase de haies près de propriétés privées. 

À Coulommiers il y a bien des choses à éclaicir et pas besoin pour ceci des feux des projecteurs le temps sera un allié à n'en point douter.

Tiens...la société Bygmalion est en liquidation judiciaire?...comme c'est étrange...qui va faire les plaquettes et autres de la ville de Coulommiers ?...ceci écrit en passant, car c'est bien là encore une dépense pour la ville qui aurait pû être évitée, et les infographistes briards ont besoin de travailler, et, puis aujourd'hui avec les logiciels de PAO (1) ont peut réaliser des brochures sans avoir des connaissances particulières et ainsi faire bien des économies...



1) PAO = Publication Assistée par Ordinateur
 http://fr.wikipedia.org/wiki/Publication_assistée_par_ordinateur




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